Après la prise d'otages de deux soldats israéliens par le Hezbollah, le Liban plonge de nouveau dans une crise politique. Je souhaite qu'un cessez-le feu aboutisse au Proche-Orient sous la pression de la communauté internationale. Je veux exprimer ma solidarité envers les Libanais et le désir de voir aboutir la résolution 1559 du Conseil de sécurité des Nations Unies (ONU) adoptée en septembre 2004 qui stipule que toutes les milices libanaises et non libanaises doivent être dissoutes et désarmées. Le Liban doit retrouver l’intégralité de sa souveraineté, ceci est une priorité.
Dans cette crise majeure, il y a certe un agresseur le Hezbollah, le mouvement radical chiite libanais, mais néanmoins, la riposte légitime d'Israël doit être proportionnée. A ce titre, je déplore les victimes de ces attaques, qu’elles soient israéliennes ou libanaises.
Désormais, il faut trouver une sortie de crise rapide afin d'éviter une crise humanitaire dans la région. Du côté diplomatique, l'Organisation des Nations Unies (ONU) et l'Union Européenne (UE) ont dépêché sur place des émissaires.